- Frédéric Maguin
- Catégorie : à la une
Convaincre chaque citoyen de notre ville adorée ! Répondre à leurs questions et leur présenter notre programme !
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Porte à porte : On mouille la chemise !
Nancy est trop minérale. Les Nancéiens veulent moins une verdure décorative que des espaces à vivre, des territoires de nature coconstruits par les habitants.
Pourquoi ?
Pour augmenter le nombre de m2 d’espaces verts, mais aussi pour mieux vivre ensemble en créant des jardins partagés et familiaux, en mettant enfin en place une vraie politique de l’arbre.
Comment ?
En créant du lien et de la cohérence entre l’ensemble des espaces verts de la ville, par exemple une voie verte permettant de cheminer de la Pépinière au Parc Sainte- Marie en empruntant une liaison végétalisée aménagée dans les rues Saint-Georges et Saint-Jean avec une passerelle sur la voie ferrée et un espace arboré sur l’Esplanade Philippe Séguin et la place de l’Etang St Jean (Viaduc Kennedy – rue Pierre Chalnot).
En développant des chemins piétonniers reliant par exemple la Meurthe au Canal et au-delà à la campagne ou à la forêt toute proche.
Les 23 et 30 mars prochains, vous élirez votre maire. La réforme des rythmes scolaires sera le premier dossier que nous mettrons en œuvre dans les écoles maternelles et élémentaires si vous nous accordez votre confiance.
Nous voulons faire le pari d‘une ville qui investit pour sa jeunesse, d’une ville qui croit en chacun de ses enfants, d’une ville qui permette la réussite scolaire de tous, d’une ville de l’excellence éducative.
Nous avons le plaisir de vous présenter nos propositions pour nos enfants.
Voilà trois mois maintenant que des centaines de milliers d’Ukrainiens manifestent sur la place Maïdan, légendaire place de l’indépendance au centre de Kiev et cœur de la révolution orange de 2004. Ces manifestations ont provoqué de violentes réactions policières du gouvernement Ianoukovitch, des centaines de blessés depuis décembre, et depuis le 18 février, plusieurs dizaines de morts. Alors que le pays est plus divisé que jamais, le gouvernement ukrainien tente de se fermer au monde pour opérer sa répression de plus en plus brutale et sanglante. On craint aujourd’hui le pire dans cette course à la radicalisation d’un pouvoir aux abois avec la complicité de Moscou, tandis que les yeux du monde sont braqués sur le décompte des médailles des Jeux Olympiques à Sotchi.
Les témoignages qui nous parviennent depuis Kiev sont choquants, les images sont insupportables et la timidité des réactions européennes plus que regrettable. La Haute représentante de l’UE, Catherine Ashton, trouve la situation « préoccupante » (sic) tandis que les chancelleries des Etats membres font chacune entendre leur petite musique nationale dans le grand orchestre de l’impuissance européenne. Pendant ce temps, aussi à l’aise dans les brodequins de tsar que dans les bottes de Staline, le président russe Vladimir Poutine continue de diviser l’Europe par sa diplomatie à coup de dollars et de gaz, en entretenant un gouvernement ukrainien à qui ne manquait plus que le baptême du sang. C’est désormais chose faite.
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